Le peloton de tête
1- Robert MOORE : 7,6 pts (↘)
2- Anatole PICSOU : 7,5 pts (↗)
Comme le mois dernier, ce sont Robert MOORE et Anatole PICSOU qui occupent la première place de notre classement. Mais le premier perd presqu'autant de points que le second n'en gagne. Robert MOORE, pas plus qu'Anatole PICSOU, n'ont particulièrement fait quoi que ce soit qui mérite un changement par rapport au mois dernier.
Peut-être l'ancien président, le temps de son mandat passant, perd-il en popularité ce que le banquier, dont l'influence sur la hausse des taxes n'a pas été si pénalisante pour les Armaréens que n'ont pu l'annoncer certains républicains, gagne en reconnaissance de son expérience. Ou alors est-ce une réaction, "comme ça", qui ne voudrait rien dire. Ce qui est plus douteux.
A la cordée
3- Paul GRISHAM : 6,1 pts (↘)
4- Dean Kyle HORTON : 6 pts (↘)
5- Sam Duncan GÜTH : 5,9 pts (↘)
6- Alphonso MARINELLI : 5,8 pts (↘)
6- John CARRER : 5,8 pts (↗)
8- Mary HARMANN : 5,8 pts (=)
9- Jake CLAYTON 5,2 pts (↘)
GRISHAM qui dépasse HORTON ! Il ne s'arrête plus, le ministre, car bien que concerné comme tout le personnel politique par des notes extrêmes, entre pro-peine capitale et anti, le président de l'UCI surnage. Dans le séisme politique qui a révolutionné la vie politique il y a quelques jours, il semblerait qu'il ait fait le bon choix pour l'opinion publique, malgré une baisse de popularité assez sensible d'un demi point, et se place dans une situation très favorable pour la prochaine présidentielle.
L'ancien président, très engagé contre l'abolition, paie ce soutien de près d'un point, et perd le rôle de présidentiable favori qu'il semblait camper pour les échéances de février. Le chargé de mission GÜTH, dont l'action au gouvernement n'a pas pu encore être exposée aux citoyens, perd un dixième de point, autant dire presque rien. Il semblerait toutefois que ses projets ne soient pas présentés avant la prochaine législature, s'il était reconduit.
Suivent trois citoyens très proches, distingués par moins d'un point. Ex-aequo, nous avons le ministre Alphonso MARINELLI, qui remonte tandis que son double-yoyo, JERK, redescend. C'est sans doute ce que l'on appelle se renvoyer l'ascenseur. Avec lui, le représentant John CARRER. Et à un demi-point d'eux, imperceptible dans la cote, c'est la Président, Mary HARMANN. Comme nous le pronostiquions, c'était bien l'inactivité du gouvernement qui lui mettait du plomb dans l'aile, et la réforme constitutionnelle, qui va bon train, ainsi que la modération d'une guerre qui poignait, ont redonné confiance aux Armaréens.
Enfin, Jake CLAYTON perd un demi-point, sans doute pour son soutien aux anti-abolitionnistes, mais pour certains sympathisants des républicains, il n'aurait pas joué à fond la campagne, cause de l'échec très serré lors du référendum abolitionniste. Le rôle de Paul GRISHAM dans cette affaire pourra toutefois donner à l'UCI un blanc-seing de neutralité dans cette affaire, ses deux cadres ayant pris des positions diverses, ce qui les renvoie à une politique plus générale.
A la traîne
10- Paul ROND : 4,9 pts (↘)
11- Edward MCROY : 4,7 pts (↗)
12- Steven TREE : 3,5 pts (↘)
13- Iam JERK : 3,2 pts (↘)
14- Alexander STEWART : 3 pts (↗)
Désastre complet pour le PR, le seul parti à s'être prononcé tout entier pour l'abolition subit un grand revers d'opinion. Le grand thuriféraire de l'abolition, Iam JERK, perd 2, 5 points, une chute sans commune mesure. Steven TREE est logé à meilleure enseigne, de quelques points, pour la solution de compromis qu'il avait proposée mais qui restait anti-abolitionniste. Le président du parti s'en sort un peu mieux, sans doute parce que son rôle dans le règlement de la crise skotinèque n'a pas été oubliée : rappelons que Paul ROND avait alerté très tôt la Présidente sur les risques de submersion de cet état, dont les conséquences semblent être un réchauffement des relations entre les deux états.
Le ministre MCROY, très décrié le mois dernier, semble, le fait accompli, reprendre du poil de la bête, même s'il reste "à la traîne", il devance la plupart des opposants. Un bon point, sans doute, pour le gouvernement, qui vient de frôler un grand péril.
Enfin, le syndicaliste STEWART reprend aussi quelques couleurs, si l'on peut dire. Il a fondé avec le soutien du ministre MCROY le premier syndicat d'Armara au nom poétique de GPT (Guilde de Protection des Travailleurs), ce qui ne semble pas encore faire l'unanimité, alors que les débats sur un code du travail sont en cours dans la Salle de la Sagesse, d'après ce que nous en savons.
1- Robert MOORE : 7,6 pts (↘)
2- Anatole PICSOU : 7,5 pts (↗)
Comme le mois dernier, ce sont Robert MOORE et Anatole PICSOU qui occupent la première place de notre classement. Mais le premier perd presqu'autant de points que le second n'en gagne. Robert MOORE, pas plus qu'Anatole PICSOU, n'ont particulièrement fait quoi que ce soit qui mérite un changement par rapport au mois dernier.
Peut-être l'ancien président, le temps de son mandat passant, perd-il en popularité ce que le banquier, dont l'influence sur la hausse des taxes n'a pas été si pénalisante pour les Armaréens que n'ont pu l'annoncer certains républicains, gagne en reconnaissance de son expérience. Ou alors est-ce une réaction, "comme ça", qui ne voudrait rien dire. Ce qui est plus douteux.
A la cordée
3- Paul GRISHAM : 6,1 pts (↘)
4- Dean Kyle HORTON : 6 pts (↘)
5- Sam Duncan GÜTH : 5,9 pts (↘)
6- Alphonso MARINELLI : 5,8 pts (↘)
6- John CARRER : 5,8 pts (↗)
8- Mary HARMANN : 5,8 pts (=)
9- Jake CLAYTON 5,2 pts (↘)
GRISHAM qui dépasse HORTON ! Il ne s'arrête plus, le ministre, car bien que concerné comme tout le personnel politique par des notes extrêmes, entre pro-peine capitale et anti, le président de l'UCI surnage. Dans le séisme politique qui a révolutionné la vie politique il y a quelques jours, il semblerait qu'il ait fait le bon choix pour l'opinion publique, malgré une baisse de popularité assez sensible d'un demi point, et se place dans une situation très favorable pour la prochaine présidentielle.
L'ancien président, très engagé contre l'abolition, paie ce soutien de près d'un point, et perd le rôle de présidentiable favori qu'il semblait camper pour les échéances de février. Le chargé de mission GÜTH, dont l'action au gouvernement n'a pas pu encore être exposée aux citoyens, perd un dixième de point, autant dire presque rien. Il semblerait toutefois que ses projets ne soient pas présentés avant la prochaine législature, s'il était reconduit.
Suivent trois citoyens très proches, distingués par moins d'un point. Ex-aequo, nous avons le ministre Alphonso MARINELLI, qui remonte tandis que son double-yoyo, JERK, redescend. C'est sans doute ce que l'on appelle se renvoyer l'ascenseur. Avec lui, le représentant John CARRER. Et à un demi-point d'eux, imperceptible dans la cote, c'est la Président, Mary HARMANN. Comme nous le pronostiquions, c'était bien l'inactivité du gouvernement qui lui mettait du plomb dans l'aile, et la réforme constitutionnelle, qui va bon train, ainsi que la modération d'une guerre qui poignait, ont redonné confiance aux Armaréens.
Enfin, Jake CLAYTON perd un demi-point, sans doute pour son soutien aux anti-abolitionnistes, mais pour certains sympathisants des républicains, il n'aurait pas joué à fond la campagne, cause de l'échec très serré lors du référendum abolitionniste. Le rôle de Paul GRISHAM dans cette affaire pourra toutefois donner à l'UCI un blanc-seing de neutralité dans cette affaire, ses deux cadres ayant pris des positions diverses, ce qui les renvoie à une politique plus générale.
A la traîne
10- Paul ROND : 4,9 pts (↘)
11- Edward MCROY : 4,7 pts (↗)
12- Steven TREE : 3,5 pts (↘)
13- Iam JERK : 3,2 pts (↘)
14- Alexander STEWART : 3 pts (↗)
Désastre complet pour le PR, le seul parti à s'être prononcé tout entier pour l'abolition subit un grand revers d'opinion. Le grand thuriféraire de l'abolition, Iam JERK, perd 2, 5 points, une chute sans commune mesure. Steven TREE est logé à meilleure enseigne, de quelques points, pour la solution de compromis qu'il avait proposée mais qui restait anti-abolitionniste. Le président du parti s'en sort un peu mieux, sans doute parce que son rôle dans le règlement de la crise skotinèque n'a pas été oubliée : rappelons que Paul ROND avait alerté très tôt la Présidente sur les risques de submersion de cet état, dont les conséquences semblent être un réchauffement des relations entre les deux états.
Le ministre MCROY, très décrié le mois dernier, semble, le fait accompli, reprendre du poil de la bête, même s'il reste "à la traîne", il devance la plupart des opposants. Un bon point, sans doute, pour le gouvernement, qui vient de frôler un grand péril.
Enfin, le syndicaliste STEWART reprend aussi quelques couleurs, si l'on peut dire. Il a fondé avec le soutien du ministre MCROY le premier syndicat d'Armara au nom poétique de GPT (Guilde de Protection des Travailleurs), ce qui ne semble pas encore faire l'unanimité, alors que les débats sur un code du travail sont en cours dans la Salle de la Sagesse, d'après ce que nous en savons.