Le peloton de tête
1- Anatole PICSOU : 7,5 pts (↘)
2- Robert MOORE : 7,2 pts (↘)
3- Sam D. GÜTH : 7 pts (↘)
1- Anatole PICSOU : 7,5 pts (↘)
2- Robert MOORE : 7,2 pts (↘)
3- Sam D. GÜTH : 7 pts (↘)
Ces trois personnalités sont issues de la société civile, ou du moins ne sont pas politiquement actifs. Le premier est Grand Argentier de la Banque Nationale et se distingue par son action pour la promotion de l'économie armaréenne, ayant collaboré étroitement avec le ministre GRISHAM pour la réforme en étude du Code de L'Economie. Le deuxième est l'ancien Président Robert MOORE qui demeure très populaire pour son action de Président mais aussi pour son actuel rôle de Président de la Cour Suprême. Il a rejoint récemment le parti de Paul GRISHAM, l'UCI, mais n'en a pas pris, que l'on sache, une place au comité directeur. Frôlant les huit points le mois dernier, tous deux connaissent une petite baisse qui s'explique d'une part par leurs prises de position (sollicité dans la vie politique, ils ont dû s'exprimer et faire moins l'unanimité qu'auparavant), mais c'est aussi un phénomène logique, les 8 points étant quasiment indépassables, et représentant un plafond que seule une personnalité extraordinaire pourrait percer, suffisamment consensuelle. Le troisième perd également quelques centièmes, et ce avant qu'il n'annonce son entrée dans la course à la présidentielle. Nous avons donc en tête trois indépendants, plus ou moins concernés par la vie politique, mais pas assez directement pour diviser. Notons qu'il s'agit toujours des mêmes, dans le même ordre, depuis la création de notre indice il y a deux mois.
A la cordée
4- Dean K. HORTON : 6,3 pts (↗)
4- Edward MCROY : 6,3 pts (↗)
6- Paul GRISHAM : 5,8 pts (↗)
7- Mary HARMANN : 5, 7 pts (↗)
8- Jake CLAYTON : 5,1 pts (↘)
9- Iam JERK : 5 pts (↗)
Le Président HORTON conserve sa 4e place en et sa progression, légère mais constante. En fin de mandature, assied sa stature de présidentiable, qui le place en tant que politique dans la meilleure position pour être son propre successeur. Toutefois, le PDA continue à engranger en popularité, par le biais de tous ses membres, à l'exception d'Alphonso MARINELLI : Edward MCROY progresse de près d'un demi-point, et est 4e ex-aequo avec le Président, sans doute conséquence de son accession à la Cour Suprême qui l'élève. Son ascension en popularité n'est sans doute pas finie. De même, Mary HARMANN gagne encore plus de dixièmes (sept) et trois places, alors qu'elle est candidate déclarée du PDA, et pourrait bien créer la surprise, alors même que sa parole n'est pas encore très audible car elle n'est que représentante, et depuis peu. Elle talonne tout juste Paul GRISHAM, qui gagne une place mais seuls deux dixièmes. Il s'inscrit ainsi bien dans le paysage politique, après avoir créé son parti d'indépendants. Peut-être a-t-il bénéficié de la popularité de son adhérent-phare, Robert MOORE, bien que son action de réforme du Code de l'Economie unilatéralement saluée, ainsi que sa méthode basée sur la recherche du consensus.
Jake CLAYTON dégringole, lui, à la 8e place, en perdant deux, et sept dixièmes avec. Est-ce à cause de son action qui serait mal appréciée ou quelque peu embourbée au Conseil Fédéral à cause de la période estivale, ou de son agressivité à peine dissimulée envers les Républicains ? En tout cas, l'ancien chouchou du gouvernement est en passe d'en devenir la bête noire, à limité de l'impopularité, si la tendance se poursuit. Et justement, celui qu'il semble avoir adopté pour cible et meilleur ennemi, Iam JERK, gagne deux places et un demi-point, en retrouvant le "peloton". Le Président du Conseil Fédéral, qui a su adopter le train modéré de ses confrères tout en commençant à laisser derrière lui la crise institutionnelle dont l'Histoire dira qu'il l'avait déclenchée, bien que Robert MOORE lui en veuille toujours, d'après ses intimes, ce qui pourrait être une lourde casserole à traîner pour le Républicain, appartenant à une famille politique très attachée à l'ancien président.
A la traîne
10- Alphonso MARINELLI : 4,7 pts (↘)
11- John MCKINGSLEY : 4,4 pts (↘)
12- Richard J. JACKSON : 3,8 pts (↘)
13- Steven TREE : 3,7 pts (↗)
14- Alexander STEWART : 3,4 pts (↘)
Alphonso MARINELLI, à l'inverse d'Iam JERK, quitte le "peloton" pour se retrouver dans le marais des personnalités mal aimées ou inconnues. En effet, l'ex candidat démocrate ayant démissionné du Conseil Fédéral et se murant dans son silence, se consacrant à peine à son activité industrielle, perd un demi point et risque fort d'être oublié sous peu, à moins d'un retour. D'ailleurs, il serait très en colère contre le milieu politique. L'ex président du Parti Républicain, John MCKINGSLEY, qui l'a quitté pour raisons de santé, connait le même désamour : il perd un point, en ayant perdu sa parole politique, et trois places. Son activité industrielle étant réduite avec la Grande Stagnation qui dure depuis le début du mandat du Président Horton, sans perspective d'avancée, il a perdu toute visibilité et semble aussi voué à l'oubli que MARINELLI. Richard J. RICHARDSON, également peu régulier sur la scène publique, perd un demi-point. Il a tout de même récemment manifesté son intérêt pour l'UCI : peut-être le reverra-t-on sous peu. L'actuel président du Parti Républicain, Steven TREE, est le seul de ce bas de tableau à gagner des dixièmes, atteignant son plus haut degré de popularité depuis la création de notre indice. En tant que chef de parti, et surtout de l'actuellement plus puissant, il est le seul à bénéficier du feu des projecteurs, bien qu'il n'en use que peu. Inscrit sur la liste républicaine, il se pourrait qu'il entre dans les prochains jours au Conseil Fédéral et ainsi s'extirpe bientôt du désamour. Enfin, le syndicaliste Alexander STEWART, presque un inconnu, perd également quelques dixièmes.
A la cordée
4- Dean K. HORTON : 6,3 pts (↗)
4- Edward MCROY : 6,3 pts (↗)
6- Paul GRISHAM : 5,8 pts (↗)
7- Mary HARMANN : 5, 7 pts (↗)
8- Jake CLAYTON : 5,1 pts (↘)
9- Iam JERK : 5 pts (↗)
Le Président HORTON conserve sa 4e place en et sa progression, légère mais constante. En fin de mandature, assied sa stature de présidentiable, qui le place en tant que politique dans la meilleure position pour être son propre successeur. Toutefois, le PDA continue à engranger en popularité, par le biais de tous ses membres, à l'exception d'Alphonso MARINELLI : Edward MCROY progresse de près d'un demi-point, et est 4e ex-aequo avec le Président, sans doute conséquence de son accession à la Cour Suprême qui l'élève. Son ascension en popularité n'est sans doute pas finie. De même, Mary HARMANN gagne encore plus de dixièmes (sept) et trois places, alors qu'elle est candidate déclarée du PDA, et pourrait bien créer la surprise, alors même que sa parole n'est pas encore très audible car elle n'est que représentante, et depuis peu. Elle talonne tout juste Paul GRISHAM, qui gagne une place mais seuls deux dixièmes. Il s'inscrit ainsi bien dans le paysage politique, après avoir créé son parti d'indépendants. Peut-être a-t-il bénéficié de la popularité de son adhérent-phare, Robert MOORE, bien que son action de réforme du Code de l'Economie unilatéralement saluée, ainsi que sa méthode basée sur la recherche du consensus.
Jake CLAYTON dégringole, lui, à la 8e place, en perdant deux, et sept dixièmes avec. Est-ce à cause de son action qui serait mal appréciée ou quelque peu embourbée au Conseil Fédéral à cause de la période estivale, ou de son agressivité à peine dissimulée envers les Républicains ? En tout cas, l'ancien chouchou du gouvernement est en passe d'en devenir la bête noire, à limité de l'impopularité, si la tendance se poursuit. Et justement, celui qu'il semble avoir adopté pour cible et meilleur ennemi, Iam JERK, gagne deux places et un demi-point, en retrouvant le "peloton". Le Président du Conseil Fédéral, qui a su adopter le train modéré de ses confrères tout en commençant à laisser derrière lui la crise institutionnelle dont l'Histoire dira qu'il l'avait déclenchée, bien que Robert MOORE lui en veuille toujours, d'après ses intimes, ce qui pourrait être une lourde casserole à traîner pour le Républicain, appartenant à une famille politique très attachée à l'ancien président.
A la traîne
10- Alphonso MARINELLI : 4,7 pts (↘)
11- John MCKINGSLEY : 4,4 pts (↘)
12- Richard J. JACKSON : 3,8 pts (↘)
13- Steven TREE : 3,7 pts (↗)
14- Alexander STEWART : 3,4 pts (↘)
Alphonso MARINELLI, à l'inverse d'Iam JERK, quitte le "peloton" pour se retrouver dans le marais des personnalités mal aimées ou inconnues. En effet, l'ex candidat démocrate ayant démissionné du Conseil Fédéral et se murant dans son silence, se consacrant à peine à son activité industrielle, perd un demi point et risque fort d'être oublié sous peu, à moins d'un retour. D'ailleurs, il serait très en colère contre le milieu politique. L'ex président du Parti Républicain, John MCKINGSLEY, qui l'a quitté pour raisons de santé, connait le même désamour : il perd un point, en ayant perdu sa parole politique, et trois places. Son activité industrielle étant réduite avec la Grande Stagnation qui dure depuis le début du mandat du Président Horton, sans perspective d'avancée, il a perdu toute visibilité et semble aussi voué à l'oubli que MARINELLI. Richard J. RICHARDSON, également peu régulier sur la scène publique, perd un demi-point. Il a tout de même récemment manifesté son intérêt pour l'UCI : peut-être le reverra-t-on sous peu. L'actuel président du Parti Républicain, Steven TREE, est le seul de ce bas de tableau à gagner des dixièmes, atteignant son plus haut degré de popularité depuis la création de notre indice. En tant que chef de parti, et surtout de l'actuellement plus puissant, il est le seul à bénéficier du feu des projecteurs, bien qu'il n'en use que peu. Inscrit sur la liste républicaine, il se pourrait qu'il entre dans les prochains jours au Conseil Fédéral et ainsi s'extirpe bientôt du désamour. Enfin, le syndicaliste Alexander STEWART, presque un inconnu, perd également quelques dixièmes.