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Le peloton de tête
1- Anatole PICSOU : 8 pts (↗)
2- Robert MOORE : 7,9 pts (↗)
3- Sam D. GÜTH : 7, 3 pts (=)
Ces trois personnalités sont issues de la société civile, le premier est Grand Argentier de la Banque Nationale et se distingue par son action pour la promotion de l'économie armaréenne. Le deuxième est l'ancien Président Robert MOORE qui demeure très populaire pour son action de Président mais aussi pour son actuel rôle de Président de la Cour Suprême. Tous deux ont connu une nette progression de leur popularité qui les fait approcher des 8 points, soit pour ainsi dire le paroxysme de la popularité pour un sondage comme le nôtre. Le troisième quant à lui stagne, peut-être parce que l'Académie de Palm Habor qu'il préside n'a pas encore fait d'éclat. Ces scores n'en demeurent pas moins très importants.
A la cordée
4- Dean K. HORTON : 6 pts (↗)
5- Edward MCROY : 5,9 pts (↗)
6- Jake CLAYTON : 5,8 pts (↗)
7- Paul GRISHAM : 5,6 pts (↗)
8- John MCKINGSLEY : 5,4 pts (↘)
9- Alphonso MARINELLI : 5,1 pts (↗)
10- Mary HARMANN : 5 pts (↗)
Le Président HORTON enregistre une petite progression qui lui permet d'atteindre la quatrième place : les Armaréens voient en lui leur Président et le montrent. Derrière lui, c'est Edward MCROY et généralement tout le PDA qui enregistre une forte progression, allant du demi point pour Mary HARMANN (10e) à près d'un point et demi pour Alphonso MARINELLI (9e). MCROY, qui progresse très vivement de près d'un point, voit sans doute s'accomplir les effets de son "apothéose", car pendant l'enregistrement de notre sondage il devenait juge à la Cour Suprême auprès de Robert MOORE. Ce qui laisse au PDA deux possibles candidats, MARINELLI, plusieurs fois prétendant à la Présidence, qui apparaît comme le recours et l'homme le plus aimé par ses concitoyen, du PDA, en doublant Mary HARMANN qui le distançait autrefois. Derrière MCROY on retrouve le deux fois ministre Jake CLAYTON, qui reste 6e à notre classement en gagnant un dixième de point, ce qui témoigne d'une stabilité relative dans son image. Autre ministre dans ce peloton, Paul GRISHAM, qui depuis qu'il a quitté le PR et se fait connaître comme ministre compétent, progresse de plus d'un demi-point, grâce surtout aux sympathisants des démocrates. Le gouvernement est donc très représenté dans les personnalités les mieux placées, ce qui montre un assez haut niveau de satisfaction et de confiance. Nous tenons à nous excuser auprès de Paul GRISHAM, que nous présentions dans notre sondage comme apparenté-UPA, quand il se revendique "Indépendant". John MCKINGSLEY, le leader du PR, perd quelques dixièmes que l'on peut imputer à l'abandon du statut de "membre de la société civile", ce qui lui coûte quatre places, ce qui témoigne d'une relative impopularité du parti qu'il préside. A lui de relever la barre et de devenir un autre Paul GRISHAM.
A la traîne
11- Iam JERK : 4,6 pts (↘)
12- Richard J. JACKSON : 4,4 pts (...)
13- Alexander STEWART : 3,9 pts (...)
14- Steven TREE : 3,5 pts (↘)
En dessous de notre moyenne, où se trouvaient autrefois seuls les moins connus de nos personnalités publiques, vient en premier Iam JERK, qui fait une chute vertigineuse d'un point et quatre places aussi. Le Président du Conseil Fédéral et républicain paie sans doute son obstination dans la crise institutionnelle qui l'opposait à Edward MCROY et dans une autre mesure à Robert MOORE, mais aussi sa "jerkienne frénésie" réformatrice au sein de l'organe législatif de notre patrie, très mal vue par ses collègues et incomprise par les Armaréens. D'ailleurs, il a semblé s'en être rendu compte en relâchant le rythme. Ses suiveurs, membres de la société civile encore méconnus, qui n'ont pas encore eu l'occasion de briller ou de ternir, JACKSON et le syndicaliste STEWART, s'intercalent entre JERK et un autre républicain, Steven TREE, au comble de l'impopularité, qui paie d'un dixième de point (c'était possible) et de deux places son comportement qui fait débat. Où s'arrêtera TREE ? Tout ceci, en tout cas, laisse présager, à un moins des rendez-vous électoraux, d'une déroute pour le PR mais aussi d'un formidable regain de voix pour le PDA, selon le principe des vases communicants, à moins d'une inversion rapide de cette tendance. Le temps est désormais compté pour MCKINGSLEY.
1- Anatole PICSOU : 8 pts (↗)
2- Robert MOORE : 7,9 pts (↗)
3- Sam D. GÜTH : 7, 3 pts (=)
Ces trois personnalités sont issues de la société civile, le premier est Grand Argentier de la Banque Nationale et se distingue par son action pour la promotion de l'économie armaréenne. Le deuxième est l'ancien Président Robert MOORE qui demeure très populaire pour son action de Président mais aussi pour son actuel rôle de Président de la Cour Suprême. Tous deux ont connu une nette progression de leur popularité qui les fait approcher des 8 points, soit pour ainsi dire le paroxysme de la popularité pour un sondage comme le nôtre. Le troisième quant à lui stagne, peut-être parce que l'Académie de Palm Habor qu'il préside n'a pas encore fait d'éclat. Ces scores n'en demeurent pas moins très importants.
A la cordée
4- Dean K. HORTON : 6 pts (↗)
5- Edward MCROY : 5,9 pts (↗)
6- Jake CLAYTON : 5,8 pts (↗)
7- Paul GRISHAM : 5,6 pts (↗)
8- John MCKINGSLEY : 5,4 pts (↘)
9- Alphonso MARINELLI : 5,1 pts (↗)
10- Mary HARMANN : 5 pts (↗)
Le Président HORTON enregistre une petite progression qui lui permet d'atteindre la quatrième place : les Armaréens voient en lui leur Président et le montrent. Derrière lui, c'est Edward MCROY et généralement tout le PDA qui enregistre une forte progression, allant du demi point pour Mary HARMANN (10e) à près d'un point et demi pour Alphonso MARINELLI (9e). MCROY, qui progresse très vivement de près d'un point, voit sans doute s'accomplir les effets de son "apothéose", car pendant l'enregistrement de notre sondage il devenait juge à la Cour Suprême auprès de Robert MOORE. Ce qui laisse au PDA deux possibles candidats, MARINELLI, plusieurs fois prétendant à la Présidence, qui apparaît comme le recours et l'homme le plus aimé par ses concitoyen, du PDA, en doublant Mary HARMANN qui le distançait autrefois. Derrière MCROY on retrouve le deux fois ministre Jake CLAYTON, qui reste 6e à notre classement en gagnant un dixième de point, ce qui témoigne d'une stabilité relative dans son image. Autre ministre dans ce peloton, Paul GRISHAM, qui depuis qu'il a quitté le PR et se fait connaître comme ministre compétent, progresse de plus d'un demi-point, grâce surtout aux sympathisants des démocrates. Le gouvernement est donc très représenté dans les personnalités les mieux placées, ce qui montre un assez haut niveau de satisfaction et de confiance. Nous tenons à nous excuser auprès de Paul GRISHAM, que nous présentions dans notre sondage comme apparenté-UPA, quand il se revendique "Indépendant". John MCKINGSLEY, le leader du PR, perd quelques dixièmes que l'on peut imputer à l'abandon du statut de "membre de la société civile", ce qui lui coûte quatre places, ce qui témoigne d'une relative impopularité du parti qu'il préside. A lui de relever la barre et de devenir un autre Paul GRISHAM.
A la traîne
11- Iam JERK : 4,6 pts (↘)
12- Richard J. JACKSON : 4,4 pts (...)
13- Alexander STEWART : 3,9 pts (...)
14- Steven TREE : 3,5 pts (↘)
En dessous de notre moyenne, où se trouvaient autrefois seuls les moins connus de nos personnalités publiques, vient en premier Iam JERK, qui fait une chute vertigineuse d'un point et quatre places aussi. Le Président du Conseil Fédéral et républicain paie sans doute son obstination dans la crise institutionnelle qui l'opposait à Edward MCROY et dans une autre mesure à Robert MOORE, mais aussi sa "jerkienne frénésie" réformatrice au sein de l'organe législatif de notre patrie, très mal vue par ses collègues et incomprise par les Armaréens. D'ailleurs, il a semblé s'en être rendu compte en relâchant le rythme. Ses suiveurs, membres de la société civile encore méconnus, qui n'ont pas encore eu l'occasion de briller ou de ternir, JACKSON et le syndicaliste STEWART, s'intercalent entre JERK et un autre républicain, Steven TREE, au comble de l'impopularité, qui paie d'un dixième de point (c'était possible) et de deux places son comportement qui fait débat. Où s'arrêtera TREE ? Tout ceci, en tout cas, laisse présager, à un moins des rendez-vous électoraux, d'une déroute pour le PR mais aussi d'un formidable regain de voix pour le PDA, selon le principe des vases communicants, à moins d'une inversion rapide de cette tendance. Le temps est désormais compté pour MCKINGSLEY.
