A une semaine du lancement des échéances électorales législatives et présidentielles, les lignes commencent à bouger dans les milieux politiques, et l'heure est à la préparation des grands rendez-vous démocratiques.
¤ A l'initiative, le premier à ouvrir le bal était le Parti Républicain, dirigé par son vice-président, devenu président par intérim, Steven TREE, John MCKINGSLEY ayant dû abandonner son poste à cause de ses ennuis de santé. Steven TREE a publié dimanche les statuts du PR et plancherait, d'après les ténors du premier parti en députation, sur un programme qui satisfasse les différents courants du vainqueur partiel des dernières élections, celles de mai.
Paul GRISHAM a suivi le mouvement en actant sa différence et son refus de s'enrôler dans telle ou telle formation : rappelons qu'il avait quitté le Parti Républicain à la suite de dissensions avec ses membres après l'avoir relancé, et particippe toujours au gouvernement en dirigeant un petit groupe de sécessionnistes, minoritaire, d'indépendants du PR, en insistant bien sur le fait qu'il n'avait pas rallié l'UPA, le parti présidentiel jonasien. Logiquement, il a poursuivi la logique en créant un parti qui sera certainement centriste et en position de faiseur de majorité, l'Union des Citoyens Indépendants (UCI), qui proposera à n'en pas douter une liste aux législatives, mais peut-être pas, au vu de sa naissance récente, à la présidentielle.
¤ Deux autres formations restent en berne néanmoins, et surtout l'UPA, dont les membres se font de plus en plus rares. La période y est certes propice, mais l'action gouvernementale est très ralentie par les absences, et le Conseil Fédéral est quasiment à l'arrêt depuis un mois autour d'un texte refondant l'Ecole. Le Président HORTON se présentera sûrement à sa succession, et ce n'est sans doute pas Jake CLAYTON qui l'en empêchera.
Le PDA est légèrement moins inactif, préparant comme le PR une alternative et un projet cohérent, sous l'impulsion de sa nouvelle présidente, Mary HARMANN, Alphonso MARINELLI, candidat historique des démocrates, ayant annoncé qu'il jetait l'éponge après le revers subi à l'occasion des élections de mai.
Les aspirants candidats se montreront sans doute très attentifs à la publication de la côte de popularité d'août que nous publierons le 1er, après l'exécution de notre traditionnelle enquête. Nous comptons donc sur vous pour aiguiller nos politiques !
¤ A l'initiative, le premier à ouvrir le bal était le Parti Républicain, dirigé par son vice-président, devenu président par intérim, Steven TREE, John MCKINGSLEY ayant dû abandonner son poste à cause de ses ennuis de santé. Steven TREE a publié dimanche les statuts du PR et plancherait, d'après les ténors du premier parti en députation, sur un programme qui satisfasse les différents courants du vainqueur partiel des dernières élections, celles de mai.
Paul GRISHAM a suivi le mouvement en actant sa différence et son refus de s'enrôler dans telle ou telle formation : rappelons qu'il avait quitté le Parti Républicain à la suite de dissensions avec ses membres après l'avoir relancé, et particippe toujours au gouvernement en dirigeant un petit groupe de sécessionnistes, minoritaire, d'indépendants du PR, en insistant bien sur le fait qu'il n'avait pas rallié l'UPA, le parti présidentiel jonasien. Logiquement, il a poursuivi la logique en créant un parti qui sera certainement centriste et en position de faiseur de majorité, l'Union des Citoyens Indépendants (UCI), qui proposera à n'en pas douter une liste aux législatives, mais peut-être pas, au vu de sa naissance récente, à la présidentielle.
¤ Deux autres formations restent en berne néanmoins, et surtout l'UPA, dont les membres se font de plus en plus rares. La période y est certes propice, mais l'action gouvernementale est très ralentie par les absences, et le Conseil Fédéral est quasiment à l'arrêt depuis un mois autour d'un texte refondant l'Ecole. Le Président HORTON se présentera sûrement à sa succession, et ce n'est sans doute pas Jake CLAYTON qui l'en empêchera.
Le PDA est légèrement moins inactif, préparant comme le PR une alternative et un projet cohérent, sous l'impulsion de sa nouvelle présidente, Mary HARMANN, Alphonso MARINELLI, candidat historique des démocrates, ayant annoncé qu'il jetait l'éponge après le revers subi à l'occasion des élections de mai.
Les aspirants candidats se montreront sans doute très attentifs à la publication de la côte de popularité d'août que nous publierons le 1er, après l'exécution de notre traditionnelle enquête. Nous comptons donc sur vous pour aiguiller nos politiques !