A un mois des élections, la Grande Recomposition a commencé
¤ De grands changements ont lieu chez les démocrates :
- Le leader historique du parti, Alphonso Marinelli, annonce son départ progressif de la vie politique
- La tête de liste du PDA aux élections, Edward McRoy, remplace le juge Fergus Collins, décédé ce lundi, comme membre de la Cour Suprême. Il a donc démissionné de ses fonctions au Conseil Fédéral.
Nous allons donc, dans les jours à venir, voir de nouveaux visages porter les couleurs de ce parti, sa président Mary Hartman, encore assez peu connue à l'heure actuelle, et qui se distingue surtout dans son statut de présidente de l'entreprise publique de logement, ou encore le conseiller John Career, figure assez peu étoffée de ce parti également.
Il faudra au nouveau PDA préciser ses idées, présenter son projet et choisir sa ligne : le front des valeurs traditionnelles en Armara, ou succomber aux chants des sirènes de l'UPA afin de gouverner contre le PR, les alliances au Conseil Fédéral étant assez floues.
¤ Parallèlement, le PR poursuit sa reconstruction :
Initiée par Paul Grisham, assisté par Iam Jerk, lors des dernières élections législatives, la reconstruction du PR avait donné lieu à un succès coruscant et permis à ce vieux parti, oublié et dont l'électorat avait hésité aux 2/3 pour l'UPA, le reste ralliant le PDA, de faire une rentrée fracassante sur la scène politique armaréenne. Mais Paul Grisham a quitté, soi-disant pour des affaires d'idéologie, mais d'après les cadres du PR à cause du refus de la démocratie interne, le parti qu'il avait ressuscité, en laissant les commandes à John McKinglsey, un entrepreneur qui clamait à qui voulait l'entendre qu'il ne voudrait pas avoir de destin national. McKingsley s'est donc déchargé sur Steven Tree, un personnage jugé assez grossier, connaissant tout juste les bases de notre langue, qui est devenu le vice-président du parti, laissant à Iam Jerk d'être la voix au Conseil Fédéral des Républicains. L'équilibre semble donc avoir été trouvé, des statuts et un projet seraient en rédaction, bien que la figure forte de cette nouvelle organisation soit difficile à trouver. Jerk affirme ne pas avoir d'ambition présidentielle, McKingsley semble vouloir éviter de s'investir dans la vie publique, et Tree fait fuir les militants des deux autres partis, non pas tant pour ses idées qu'il n'a pas encore eu le temps d'énoncer (encore que l'on a cru voir en lui un partisan de la reflation), mais pour le caractère agressif et brouillon de ses déclarations. Une opération reconquête serait donc à entreprendre.
¤ L'UPA, elle, poursuit son chemin :
Le parti des anciens jonasiens, et qui se veulent à présent patriotes, n'ont plus la mainmise sur l'échiquier politique du fait de la concurrence du PR, et de l'absence d'une majorité lisible et claire. Mais Paul Grisham, l'ancien leader républicain devenu ministre de l'économie et transfuge, pourrait être un bon capital sympathie pour le parti du président Horton, où les ambitions s'affrontent en coulisse, Jake Clayton ayant semble-t-il nourri l'idée de succéder un jour au Président en exercice, et Paul Grisham n'étant pas en reste. On peut raisonnablement penser que le compromis qui sera trouvé sera de représenter Dean K. Horton, en attendant une guerre des chefs à l'hiver prochain.
En attendant, les projets vont à un train de sénateur, ce qui laisse éclater des heurts avec certains conseillers républicains volontaristes, et a conduit une fronde de l'UPA contre les propositions de réformes, notamment constitutionnelles, venues du concurrent républicain, menée par le président Horton, et qui a vu des conseillers "patriotes" se contredire, ce qui a fait dire que sous des dehors démocratiques, les jonasiens auraient vite recours au bâillon et au bâton.
¤ De grands changements ont lieu chez les démocrates :
- Le leader historique du parti, Alphonso Marinelli, annonce son départ progressif de la vie politique
- La tête de liste du PDA aux élections, Edward McRoy, remplace le juge Fergus Collins, décédé ce lundi, comme membre de la Cour Suprême. Il a donc démissionné de ses fonctions au Conseil Fédéral.
Nous allons donc, dans les jours à venir, voir de nouveaux visages porter les couleurs de ce parti, sa président Mary Hartman, encore assez peu connue à l'heure actuelle, et qui se distingue surtout dans son statut de présidente de l'entreprise publique de logement, ou encore le conseiller John Career, figure assez peu étoffée de ce parti également.
Il faudra au nouveau PDA préciser ses idées, présenter son projet et choisir sa ligne : le front des valeurs traditionnelles en Armara, ou succomber aux chants des sirènes de l'UPA afin de gouverner contre le PR, les alliances au Conseil Fédéral étant assez floues.
¤ Parallèlement, le PR poursuit sa reconstruction :
Initiée par Paul Grisham, assisté par Iam Jerk, lors des dernières élections législatives, la reconstruction du PR avait donné lieu à un succès coruscant et permis à ce vieux parti, oublié et dont l'électorat avait hésité aux 2/3 pour l'UPA, le reste ralliant le PDA, de faire une rentrée fracassante sur la scène politique armaréenne. Mais Paul Grisham a quitté, soi-disant pour des affaires d'idéologie, mais d'après les cadres du PR à cause du refus de la démocratie interne, le parti qu'il avait ressuscité, en laissant les commandes à John McKinglsey, un entrepreneur qui clamait à qui voulait l'entendre qu'il ne voudrait pas avoir de destin national. McKingsley s'est donc déchargé sur Steven Tree, un personnage jugé assez grossier, connaissant tout juste les bases de notre langue, qui est devenu le vice-président du parti, laissant à Iam Jerk d'être la voix au Conseil Fédéral des Républicains. L'équilibre semble donc avoir été trouvé, des statuts et un projet seraient en rédaction, bien que la figure forte de cette nouvelle organisation soit difficile à trouver. Jerk affirme ne pas avoir d'ambition présidentielle, McKingsley semble vouloir éviter de s'investir dans la vie publique, et Tree fait fuir les militants des deux autres partis, non pas tant pour ses idées qu'il n'a pas encore eu le temps d'énoncer (encore que l'on a cru voir en lui un partisan de la reflation), mais pour le caractère agressif et brouillon de ses déclarations. Une opération reconquête serait donc à entreprendre.
¤ L'UPA, elle, poursuit son chemin :
Le parti des anciens jonasiens, et qui se veulent à présent patriotes, n'ont plus la mainmise sur l'échiquier politique du fait de la concurrence du PR, et de l'absence d'une majorité lisible et claire. Mais Paul Grisham, l'ancien leader républicain devenu ministre de l'économie et transfuge, pourrait être un bon capital sympathie pour le parti du président Horton, où les ambitions s'affrontent en coulisse, Jake Clayton ayant semble-t-il nourri l'idée de succéder un jour au Président en exercice, et Paul Grisham n'étant pas en reste. On peut raisonnablement penser que le compromis qui sera trouvé sera de représenter Dean K. Horton, en attendant une guerre des chefs à l'hiver prochain.
En attendant, les projets vont à un train de sénateur, ce qui laisse éclater des heurts avec certains conseillers républicains volontaristes, et a conduit une fronde de l'UPA contre les propositions de réformes, notamment constitutionnelles, venues du concurrent républicain, menée par le président Horton, et qui a vu des conseillers "patriotes" se contredire, ce qui a fait dire que sous des dehors démocratiques, les jonasiens auraient vite recours au bâillon et au bâton.