Chers amaréens, chères armaréennes,
Durant ces derniers jours, les attaques n'ont pas manqué contre mon Gouvernement et moi-même. Lorsque je me suis présenté à la Chancellerie, j'avais volontairement évité de présenter un programme trop fermé. Je souhaitais avant tout rassembler autour de plusieurs idées, de chantiers fédérateurs. Ces derniers jours m'ont amené à réfléchir. La motion de censure déposée à mon encontre est une preuve s'il en est que malgré mes efforts de fond pour renouer le contact avec le citoyen, cela n'a pas pris.
Je ne souhaite pas être l'artisan de la division de notre pays. Pas plus que je ne souhaite, que mon amitié connue pour l'Empereur ne soit un frein à l'action du Gouvernement. Les angles d'attaque contre moi sont nombreux car je reste un homme politique normal, avec ses atouts, ses faiblesses. Mais je n'ai pas mis ma responsabilité au placard. J'en appelle à l'apaisement. Notre pays se remet d'une crise sans précédent et nous devons nous unir pour faire face à toutes ces difficultés.
C'est donc en toute connaissance de cause, et parce que je refuse de provoquer une nouvelle crise en fragmentant le peuple armaréen que j'annonce ce soir, ma décision de démissionner de mon poste de Chancelier et de ne pas me représenter lors de l'élection à venir. Gouverner Armara est une expérience sans précédent mais très ardue. Je souhaite chance et courage à celui ou à celle qui me succédera. En attendant l'organisation de nouvelles élections, le Gouvernement assurera la gestion des affaires courantes.
Vive l'Empire, vive Armara.
Durant ces derniers jours, les attaques n'ont pas manqué contre mon Gouvernement et moi-même. Lorsque je me suis présenté à la Chancellerie, j'avais volontairement évité de présenter un programme trop fermé. Je souhaitais avant tout rassembler autour de plusieurs idées, de chantiers fédérateurs. Ces derniers jours m'ont amené à réfléchir. La motion de censure déposée à mon encontre est une preuve s'il en est que malgré mes efforts de fond pour renouer le contact avec le citoyen, cela n'a pas pris.
Je ne souhaite pas être l'artisan de la division de notre pays. Pas plus que je ne souhaite, que mon amitié connue pour l'Empereur ne soit un frein à l'action du Gouvernement. Les angles d'attaque contre moi sont nombreux car je reste un homme politique normal, avec ses atouts, ses faiblesses. Mais je n'ai pas mis ma responsabilité au placard. J'en appelle à l'apaisement. Notre pays se remet d'une crise sans précédent et nous devons nous unir pour faire face à toutes ces difficultés.
C'est donc en toute connaissance de cause, et parce que je refuse de provoquer une nouvelle crise en fragmentant le peuple armaréen que j'annonce ce soir, ma décision de démissionner de mon poste de Chancelier et de ne pas me représenter lors de l'élection à venir. Gouverner Armara est une expérience sans précédent mais très ardue. Je souhaite chance et courage à celui ou à celle qui me succédera. En attendant l'organisation de nouvelles élections, le Gouvernement assurera la gestion des affaires courantes.
Vive l'Empire, vive Armara.