Réactions aux communiqués de l'UPA

Réponse au communiqué de l'UPA

Nous tenons à vous signifier que nous ignorions, jusqu'à ce jour, votre état de santé durant la crise. Notre parti n'a jamais pu faire ses preuves faute de présence dans quelques gouvernement récents. La guerre enclenché lors de la présidence Melgan le fut à la demande expresse d'Edoran. Ce fut une monumentale erreur dites vous ?
Certes, mais qui nous a apporté la Syldavie du Sud ! Et ne me dites pas que cela est encore de votre fait !
Oui j'ai été gravement blessé et j'avais renoncé à la politique, mais cela grâce à qui ?
Vous avez reporté les élections ? Je pense que n'importer qui en aurai fait autant mais pas pour les mêmes raisons.
Vous qui vous targuez, d'être le champion de la sécurité, le bureau BII a été réduit en poussière et une bombe Oumouyenne à réduit notre pays à un timbre poste sur la carte ! Je rends hommage à Madame head qui seule, à su éradiquer la menace, elle l'a d’ailleurs payé cher.
Vous n'êtes pas le sauveur de ce pays, Monsieur, quand à votre constitution, nous l'abrogerons pour revenir à la seconde constitution remaniée qui interdira toute possession d'arme chez soi.

L'ignorance n'a pas sa place en politique Monsieur Marinelli. Les affaires sérieuses, la politique de la Nation ne demandent aucune approximation. Il ne s'agit pas d'un essai ou d'un exercice mais d'une réalité. Mieux vaut se taire que de parler sans savoir.

La guerre enclenchée par Monsieur Melgan, qui a lâchement abandonné le navire, n'a pas été gagnée grâce à vous mais grâce à la volonté de l'Empereur, qui après l'attentat de San Salem a mis en place tous les moyens militaires nécessaires pour sortir de cette crise fâcheuse. Vous n'allez pas m'apprendre mes anciens ordres de mission, Monsieur Marinelli, je sais qui les a signés.

La libération de la Syldavie du Sud est liée aux opérations mises en place par l'Empereur et aux patriotes qui ont servi à mes côtés dans l'armée. En revanche, le rattachement de la Syldavie du Sud est du fait du peuple syldave et du peuple armaréen.

Vous pouvez dire que je suis responsable de l'attentat à votre encontre, que j'ai reporté les élections parce que je voulais conserver le pouvoir à tout prix. Vous pouvez me reprocher un nombre incalculable de fois d'avoir été dans le coma, cela m'est bien égal. Je vous ai déjà dit que je n'entrerais pas dans cette polémique. Je ne peux faire plus clair et limpide.

J'aurais l'occasion de revenir sur les évènements durant la campagne et de démontrer ce qui a fonctionné et ce qui n'a pas fonctionné ainsi que la façon de remédier au problème.

Pour l'heure, vous me voyez ravi d'être le responsable de votre retour en politique, voilà une chose que vous ne pourrez pas m'enlever !
Notre démocratie a de beaux jours devant elle tant qu'elle offrira une diversité idéologique.