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Percée des démocrates
Alors qu'on le croyait en perte de vitesse, le Mouvement Démocrate et Progressiste (MDP) est arrivé en tête des législatives, raflant 115 sièges sur les 249 que comporte l'Assemblée Fédérale. Une victoire inattendue, qui montre à quel point les armaréens sont divisés sur la libéralisation économique engagée par le Président Clayton et la précédente majorité. Si ce score ne permet pas aux démocrates d'obtenir une majorité absolue, il vient les conforter dans leur combat pour la préservation d'une économie régulée et du système social armaréen. Bénéficiant de 46.18 % des sièges, devant l'URL (majorité sortante) à 30.92 % et l'ARM à 22.90%, ils vont pouvoir davantage peser dans la chambre basse mais aussi dans la chambre basse, le Sénat. En effet, sur la totalité des 4 états, les démocrates ont maintenu leur ancrage dans le Romitois, avec la réélection de Peter McRoy. La grosse surprise du scrutin, reste le Virnéo (républicain jusqu'à alors) puisque la candidate démocrate, Katherine Berry, est arrivée en tête. Les deux sénateurs du MDP vont donc jouer un rôle essentiel puisqu'ils constitueront un véritable rapport de force.
Vers un front libéral et républicain ?
Chers les républicains comme chez les libertariens, l'ambiance n'était pas à la fête hier soir. Certes, l'URL conserve le Missina et parvient à maintenir, avec quelques pertes, son nombre de sièges. Mais pour l'ARM, c'est la débâcle complète. Seul le fief de McPherson, la Syldavie du Sud a résisté à la vague rouge. Une claque qui pour de nombreux cadres de l'ARM nécessite une réflexion "vers une fusion avec l'URL, afin de rassembler les forces de progrès, face aux rouges". Mais une telle fusion s'avèrerait compliquée au niveau idéologique. Les républicains sont favorable à un libéralisme économique mais à un conservatisme sociétal qui n'est pas du tout du goût des libertariens. De plus, si les deux partis ont réussi à s'allier sur la libéralisation économique, il n'en sera pas forcément de même sur le système social armaréen ou encore sur les sujets régaliens. Le Front libéral et républicain, ça ne sera pas pour demain !
Clayton et McPherson, réélus par le jeu des alliances
C'est une victoire à la Pirrhus pour Jake Clayton. Mis en difficultés par le recul de son parti, qui n'a pas pu bénéficier de la prime majoritaire, il a pourtant été réélu Président Fédéral par le jeu d'un pacte avec les Républicains. A McPherson le perchoir, et à Clayton sa réelection. Mais si le premier est parvenu à l'emporter grâce au soutien en bloc des représentant fédéraux libertarien et républicains, le second lui est passé à un cheveu de la sortie. Et ce n'est pas à l'Assemblée Fédérale que les choses ont posé problème mais bien au Sénat, puisque à l'issue du vote, Jake Clayton était à égalité avec son adversaire, Rick Walters, envoyé par le MDP. Et Clayton n'a du sa victoire que par un tirage au sort. Un début de mandat très fragilisé donc, pour celui qui a annoncé pendant la campagne, "un nettoyage radical et sans regret du système social armaréen". Si Walters l'avait emporté au Sénat, la Cour Suprême aurait du effectuer un nouveau tirage au sort pour déterminer qui serait le nouveau Président Fédéral. Un mode de désignation très rare mais équitable.
Alors qu'on le croyait en perte de vitesse, le Mouvement Démocrate et Progressiste (MDP) est arrivé en tête des législatives, raflant 115 sièges sur les 249 que comporte l'Assemblée Fédérale. Une victoire inattendue, qui montre à quel point les armaréens sont divisés sur la libéralisation économique engagée par le Président Clayton et la précédente majorité. Si ce score ne permet pas aux démocrates d'obtenir une majorité absolue, il vient les conforter dans leur combat pour la préservation d'une économie régulée et du système social armaréen. Bénéficiant de 46.18 % des sièges, devant l'URL (majorité sortante) à 30.92 % et l'ARM à 22.90%, ils vont pouvoir davantage peser dans la chambre basse mais aussi dans la chambre basse, le Sénat. En effet, sur la totalité des 4 états, les démocrates ont maintenu leur ancrage dans le Romitois, avec la réélection de Peter McRoy. La grosse surprise du scrutin, reste le Virnéo (républicain jusqu'à alors) puisque la candidate démocrate, Katherine Berry, est arrivée en tête. Les deux sénateurs du MDP vont donc jouer un rôle essentiel puisqu'ils constitueront un véritable rapport de force.
Vers un front libéral et républicain ?
Chers les républicains comme chez les libertariens, l'ambiance n'était pas à la fête hier soir. Certes, l'URL conserve le Missina et parvient à maintenir, avec quelques pertes, son nombre de sièges. Mais pour l'ARM, c'est la débâcle complète. Seul le fief de McPherson, la Syldavie du Sud a résisté à la vague rouge. Une claque qui pour de nombreux cadres de l'ARM nécessite une réflexion "vers une fusion avec l'URL, afin de rassembler les forces de progrès, face aux rouges". Mais une telle fusion s'avèrerait compliquée au niveau idéologique. Les républicains sont favorable à un libéralisme économique mais à un conservatisme sociétal qui n'est pas du tout du goût des libertariens. De plus, si les deux partis ont réussi à s'allier sur la libéralisation économique, il n'en sera pas forcément de même sur le système social armaréen ou encore sur les sujets régaliens. Le Front libéral et républicain, ça ne sera pas pour demain !
Clayton et McPherson, réélus par le jeu des alliances
C'est une victoire à la Pirrhus pour Jake Clayton. Mis en difficultés par le recul de son parti, qui n'a pas pu bénéficier de la prime majoritaire, il a pourtant été réélu Président Fédéral par le jeu d'un pacte avec les Républicains. A McPherson le perchoir, et à Clayton sa réelection. Mais si le premier est parvenu à l'emporter grâce au soutien en bloc des représentant fédéraux libertarien et républicains, le second lui est passé à un cheveu de la sortie. Et ce n'est pas à l'Assemblée Fédérale que les choses ont posé problème mais bien au Sénat, puisque à l'issue du vote, Jake Clayton était à égalité avec son adversaire, Rick Walters, envoyé par le MDP. Et Clayton n'a du sa victoire que par un tirage au sort. Un début de mandat très fragilisé donc, pour celui qui a annoncé pendant la campagne, "un nettoyage radical et sans regret du système social armaréen". Si Walters l'avait emporté au Sénat, la Cour Suprême aurait du effectuer un nouveau tirage au sort pour déterminer qui serait le nouveau Président Fédéral. Un mode de désignation très rare mais équitable.