Rapprochement avec le Krassland : la situation dérape !
Le traité de reconnaissance déposé par Anatole Picsou a déclenché de véritables confrontations politiques et civiles. A l'Assemblée Citoyenne, le citoyen Hawkins, connu pour être un des piliers de la droite nationaliste, a démarré les hostilités en manifestant une vive opposition au projet et en menaçant le Conseil Fédéral de s'en prendre à la délégation krasslandaise. Des propos avec lesquel, Ethan C. Clayton a pris du recul, estiment qu'ils n'étaient qu'un avis personnel et non la ligne de conduite du Parti Républicain. Mais la situation s'est très vite envenimée, après que Clayton ait appelé à une grande manifestation. En plus d'avoir été un flop retentissant (elle n'a rassemblée que 700 personnes à Mallington), les manifestants, au comportement agressif se sont confrontés aux forces de l'ordre. Au total, on dénombre 6 policiers blessés dont deux dans un état grave, 15 casseurs interpelés, 14 voitures incendiées et 5 commerces vandalisés. Des drapeaux krasslandais et pryans ont été brûlés en place publique et de nombreux civils ont été agressés alors qu'ils tentaient de contourner le conflit.
Une plainte contre le Parti Républicain et Hawkins :
Anatole Picsou n'a pas perdu de temps. A peine les menaces proférées que le Conseiller Fédéral de Missina a déposé une plainte à la Cour Suprême contre Hawkins et son parti. Les Républicains, en difficulté depuis de nombreux mois risquent d'être ébranlés par cette affaire aux conséquences non prévues.
Peter McRoy s'exprime :
Nous venons d'apprendre que le Président McRoy s'exprime en direct du Palais Blanc... Nous l'écoutons...
Le traité de reconnaissance déposé par Anatole Picsou a déclenché de véritables confrontations politiques et civiles. A l'Assemblée Citoyenne, le citoyen Hawkins, connu pour être un des piliers de la droite nationaliste, a démarré les hostilités en manifestant une vive opposition au projet et en menaçant le Conseil Fédéral de s'en prendre à la délégation krasslandaise. Des propos avec lesquel, Ethan C. Clayton a pris du recul, estiment qu'ils n'étaient qu'un avis personnel et non la ligne de conduite du Parti Républicain. Mais la situation s'est très vite envenimée, après que Clayton ait appelé à une grande manifestation. En plus d'avoir été un flop retentissant (elle n'a rassemblée que 700 personnes à Mallington), les manifestants, au comportement agressif se sont confrontés aux forces de l'ordre. Au total, on dénombre 6 policiers blessés dont deux dans un état grave, 15 casseurs interpelés, 14 voitures incendiées et 5 commerces vandalisés. Des drapeaux krasslandais et pryans ont été brûlés en place publique et de nombreux civils ont été agressés alors qu'ils tentaient de contourner le conflit.
Une plainte contre le Parti Républicain et Hawkins :
Anatole Picsou n'a pas perdu de temps. A peine les menaces proférées que le Conseiller Fédéral de Missina a déposé une plainte à la Cour Suprême contre Hawkins et son parti. Les Républicains, en difficulté depuis de nombreux mois risquent d'être ébranlés par cette affaire aux conséquences non prévues.
Peter McRoy s'exprime :
Nous venons d'apprendre que le Président McRoy s'exprime en direct du Palais Blanc... Nous l'écoutons...
Armaréennes, Armaréens,
Ce sont des heures sombres, que vient de traverser notre pays. Des heures qui nous ramènent à de douloureux souvenirs, au moment où la liberté, la tolérance et la raison étaient balayées par la loi du talion, par le bruit des armes.
J'entends les désaccords des républicains. Je respecte leur point de vue. Mais je ne peux cautionner les appels à la haine, les appels à l'insurrection populaire. Ce n'est pas comme cela qu'une démocratie fonctionne. Ce n'est pas ça la Patrie.
La Patrie, la Nation ce sont toutes les personnes qui nous entourent. Des blancs, des noirs, des descendants de tribus, des syldaves, des étrangers venu trouver ici, dans cette terre d'accueil une nouvelle vie. Quand il y a eu cette terrible tempête, cet été, quand Robert Moore nous a quitté, tout Armara s'est réuni en un hommage, dans un magnifique élan de solidarité.
Personne ne peut s'approprier la Nation et en imposer sa vision, encore moins par les menaces, par la violence. Nous sommes un grand pays, avec des valeurs et même du temps de l'Empire, où l'extrême droite dirigeait ce pays, nous nous sommes respectés.
En tant que Président du Conseil Fédéral, responsable de l'unité de notre Fédération, je souhaite que le climat actuel s'apaise, que les divergences s'expriment dans la sérénité, sans que des policiers ne soient blessés, sans que des commerçants ne se retrouvent dépouillés, sans que des civils ne soient violentés.
Il appartient à chacun de prendre ses responsabilités et je lance un message à nos amis républicains, aux patriotes, car je sais que la majorité d'entre eux, sont attachés de coeur et d'âme à la démocratie. Je leur demande de respecter les choix faits par le peuple, de respecter toutes les composantes de la démocratie.
J'en appelle à la raison leur Président, Ethan C. Clayton, qui est également Conseiller Fédéral en charge des Affaires Régaliennes. Je l'invite à revenir prendre sa place auprès du Conseil Fédéral pour essayer de travailler en concertation sur l'avenir de notre pays. Je l'appelle à réfléchir rapidement à la fonction qu'il occupe. On ne peut soutenir d'insurrection tout en ayant la charge de la sécurité nationale. De la même façon qu'on ne peut protéger un individu qui menace d'attenter à la vie humaine en toute impunité.
La vie d'un krasslandais, d'un pryan, vaut autant que celle d'un armaréen. Le meurtre n'a pas de nationalité, le crime n'a pas de frontières. Nous sommes des êtres humains, tous égaux, tous semblables, nous avons tous le droit d'exister, de nous exprimer mais surtout nous avons le devoir de respecter les autres, quand bien même nous ne nous apprécions pas avec quelques uns.
Ce que l'on appelle Nation ou Patrie, n'a pour moi qu'un seul nom : Armara. La haine et la rancoeur n'ont qu'un remède : la paix. Notre histoire nous prouve que l'inimité n'est qu'éphémère et qu'elle peut être définitivement effacée par l'union et par le dialogue.
Vive la Paix, vive Armara.